Encore un Henning Manquell, lu pendant les siestes imposées par le temps à Megève, un copieux polar cette fois-ci. Épais et bien compliqué, mais pourquoi pas. Malheureusement, je l'ai trouvé un peu répétitif dans ces nombreux points faits sur l'enquête, dans ses passages psychologisants concernant son inspecteur Wallender, dans son habitude de préciser le temps qu'il fait alors que ça n'a pas vraiment d'importance dans le déroulement de l'histoire (ce qui n'est pas le cas chez Indridason).
Un bon moment de lecture tout de même, plutôt que de regarder tomber la neige....
( Henning Mankell, La cinquième Femme. Ed. du Seuil. Trad. de Anna Gibson.)
lundi 19 mars 2018
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