Il y a quelque temps, en me promenant dans mon ancien quartier, que j'ai pourtant habité 17 ans, je remarque une impasse que je n'avais jamais repérée. Peu profonde et assez large, elle invitait à la photographie.
Aujourd'hui, je décide d'y ramener mes pas. Je passe devant mon ancien immeuble, que je salue poliment, je longe la préfecture et me voici dans la bonne rue. Je la parcours intégralement : pas trace de l'impasse !
Je me suis sans doute trompé de rue de départ, mais je préfère penser que l'espace, ouvert un instant sur l'impasse, s'est depuis refermé sur elle, comme dans les films. Un peu fêlé, le Calyste ? Si vous voulez...
dimanche 24 janvier 2016
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8 commentaires:
C'est la cicatrice d'hier qui s'est refermée !
Ah, j'adore ton histoire! Ca me rappelle cette rue qui est réellement apparue dans le vieux Quimpet, autrefois privée, elle est désormais accessible, c'est un vieux fantasme, objet de rêves récurrents, des villes ou des maisons qui soudain s'agrandissent mystérieusement.
Ta ruelle me fait penser à un rêve dans lequel notre maison possède des pièces jusque-là restées invisibles.
Ça alors, Karagar a un rêve similaire au mien (enfin moi, ce n'est que la maison).
Et tu as essayé de faire google street ou view pour voir du ciel ?
La maison qui a des pièces jusqu'alors inconnues, c'est un rêve récurrent chez moi :D
Un jour que j'étais dans la voiture de mes parents - nous étions en vacances -, j'ai vu par la fenêtre une très belle prairie. Vraiment très belle, avec des herbes hautes et des fleurs. Une espèce d'archétype de prairie (pour moi en tout cas). Quand quelques minutes plus tard mes parents ont annoncé qu'ils avaient faim et que le moment était venu de pique-niquer, je me suis exclamé : "Oh, il y a un très joli coin pour ça, on est passé devant". Mes parents ont fait demi-tour, mais nous ne l'avons jamais retrouvé...
A paris, nous avons une rue de l'Avenir qui a été "bouchée" par la construction d'un immeuble, ainsi la rue est devenue une impasse !
Plume : les grands esprits se rencontrent : j'avais eu la même idée.
Karagar et Cornus: jamais fait ce rêve. Pourtant, je ne manque pas d'imagination en dormant...
Valérie : je vais plutôt aller vérifier dans la rue à côté et parallèle.
Christophe : étrange ! Comme lorsque tu poses ton stylo sur ton bureau pour aller répondre au téléphone. Il n'est plus là à ton retour et tu mets une 1/2 heure à le retrouver, ailleurs.
Chroum : beau nom, mais pessimiste. Ainsi, l'avenir est bouché...
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