Hier soir, Plume fut la première à m'annoncer la mort d'Ettore Scola. Voilà bien un cinéaste que j'aimais. Bien sûr, Une Journée particulière, où Loren est bouleversante en mère de famille surchargée de travail et rencontrant Mastroianni, son voisin homo qui lui donnera un peu de tendresse. Bien sûr, Nous nous sommes tant aimés, bien sûr Affreux, sales et méchants, bien sûr La Nuit de Varennes...
Mais celui qui m'a le plus marqué (avec la Journée), c'est sans aucun doute Le Bal. Pourquoi ? Je ne sais pas, mais sans doute parce que j'avais vu aussi le spectacle de la troupe du Campagnol dans les années 80, spectacle sans paroles mais ô combien prenant par son originalité.
Espérons que l'on va s'arrêter là !
mercredi 20 janvier 2016
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3 commentaires:
En dehors d'extraits, je ne suis pas sûr d'avoir vu un seul de ses (ces) films en entier.
J'ai un souvenir assez vif de "Nous nous sommes tant aimés", une belle histoire d'amitiés, d'amours, de fidélités, mais parfois aussi de reniements de ses idéaux et de ses rêves de jeunesse dans l'Italie d'après guerre. Un film intemporel en fait comme pour tous les grands.
Cornus : c'est bien dommage ...
Jean-Pierre : oui, avec Manfredi, Gassman et la belle Stefania Sandrelli.
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