dimanche 22 février 2015

Bonne année

De la joie et du bonheur ! Non, je ne suis pas devenu subitement sénile : il s'agit du nouvel an chinois, bien sûr, qui tombait jeudi dernier mais que Lyon a fêté ce dimanche dans le quartier de la Guillotière. Deux ou trois rues en contrebas des quais du Rhône où il était difficile de circuler aujourd'hui. Ainsi sommes-nous entrés dans l'année de la Chèvre, symbole de paix. Il n'y a plus qu'à espérer.




D'abord un petit tour devant les différents étals.




Puis, après de longues minutes d'attente et quelques discours d'officiels, l'arrivée des deux dragons, le rouge et le blanc, accompagnés de musique et d'explosions de pétards. En effet, il est de tradition que chaque magasin en accroche des cordes et des sacs devant sa devanture  et qu'une fois que le dragon a effectué sa danse rituelle, on les fasse exploser.


 














Je ne pensais pas que cet événement attirait autant de monde mais il est vrai que les relations entre Lyon et la Chine ont toujours été très étroites, la ville étant jumelée depuis 1988 avec Canton. J'ai fait la connaissance d'un couple de lyonnais dont le fils est marié à une chinoise, occasion d'une longue discussion sur le sujet et sur des tas d'autres, le monsieur étant particulièrement cultivé et ayant, de par son métier de scientifique, beaucoup voyagé.

3 commentaires:

Cornus a dit…

J'ignorais qu'il y avait autant de choses qui pouvaient se passer ainsi à Lyon. En grand gamin, j'adore ces pétards "mitraillettes"

plumequivole a dit…

Je hais les pétards ! Par chance ils sont quasiment absents du Carnaval d'ici.
En revanche j'aime beaucoup les lanternes.
Quel est ce jeu à tapis vert ? La roulette chinoise ? :)

Calyste a dit…

Cornus : et sans doute des tas d'autres dont je n'ai pas connaissance.

Plume : moi non plus je n'aime pas ça. J'en avais (réellement) mal à une oreille hier soir. Je ne sais pas de quel jeu il s'agit. Je voulais demander mais j'ai cru que le défilé allait commencer et ai voulu me réserver une place à peu près potable. En fait, j'ai ensuite attendu plus d'une heure.