Il y a quelques années, j'avais acheté deux livres de poche, l'un de Pontalis, l'autre de De Luca, puis pris un velo'v pour poursuivre mes courses. Arrivé à la station, j'ai oublié les deux bouquins dans le porte-bagages. Le lendemain, toujours à une station velo'v, j'ai trouvé celui-ci, que je viens seulement de lire.
Livre touffu, parfois indigeste, racontant les dernières années de Marilyn Monroe et ses séances de psychanalyse avec son médecin, le docteur Greenson, dans le microcosme hollywoodien du début des années soixante. Ce qui rend ce livre difficile à lire parfois, c'est le découpage de l'auteur, non chronologique, un peu comme un film dont la monteuse aurait inversé des images. Parti pris volontaire mais qui, à mon goût, n'apporte pas grand chose.
Reste derrière tout cela la figure mythique de l'actrice dont on ne peut dire encore aujourd'hui si elle s'est suicidé ou si on l'a assassinée.
lundi 7 juillet 2014
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
2 commentaires:
Visiblement le "lecteur / voleur" ne s'est pas trompé, j'imagine.
Nicolas : un acte manqué, peut-être.
Enregistrer un commentaire