J'ai entendu une fois "faire la corbicine" . J'ai imaginé un peu la danse de St Guy, ou bien plus trivialement "faire l'andouille" en gesticulant. Anna
Anna a raison, la preuve : Dansons la corbicine Y a pas de pain chez nous Y en a chez la voisine Mais ce n'est pas pour nous... Chou les p'tits cailloux !
Cornus : étonnant que tu ne l'aies jamais entendu autour de toi.
PP2 : oui, ça m'arrive (et j'en suis fier) et j'aime les tiens. Mais ici, le mot existe vraiment.
Plume: non, docteur Plume.
Anna : c'est bien l'expression que l'on emploie mais le sens n'est pas celui-ci. J'ai supprimé tes répétitions mais sont parties avec les bises. Je les ai pourtant bien appréciées et t'en renvoie d'aussi sincères.
10 commentaires:
je sais pas, à la louche, je dirais, des ragots...
Moi aussi, je dirais la maladie qu'attrape le "corbeau" qui écrit des lettres anonymes.
La noirceur qui l'envahit !
Je n'ai jamais entendu ce mot, mais peut-être est-il peu/pas en usage là d'où je viens.
maintenant, je me méfie. Il est comme moi, le Calyste, capable en cas de besoin, d'en inventer, des mots....
Un truc d'avant la solutricine ?
J'ai entendu une fois "faire la corbicine" . J'ai imaginé un peu la danse de St Guy, ou bien plus trivialement "faire l'andouille" en gesticulant. Anna
Anna a raison, la preuve :
Dansons la corbicine
Y a pas de pain chez nous
Y en a chez la voisine
Mais ce n'est pas pour nous...
Chou les p'tits cailloux !
PP : pas du tout !
Chroum : rien à voir avec les corbeaux !
Cornus : étonnant que tu ne l'aies jamais entendu autour de toi.
PP2 : oui, ça m'arrive (et j'en suis fier) et j'aime les tiens. Mais ici, le mot existe vraiment.
Plume: non, docteur Plume.
Anna : c'est bien l'expression que l'on emploie mais le sens n'est pas celui-ci. J'ai supprimé tes répétitions mais sont parties avec les bises. Je les ai pourtant bien appréciées et t'en renvoie d'aussi sincères.
Plume : bien, bravo, mais rien à voir.
J'imagine que c'est parce que la moyenne vallée du Gier et les monts du Lyonnais méridionaux, c'est un peu différent.
Cornus : à "Monts du Lyonnais méridionaux", je préfère Forez, bien qu'habitant Lyon depuis fort longtemps. On ne renie sans doute jamais ses origines.
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