Et surtout, je me suis occupé de ses iris (et il y en a un paquet !), j'ai désherbé, taillé la vigne vierge et le lierre. Tout ça avec un sécateur qui coupait "comme les jarrets de ma grand-mère". Et sous une grosse chaleur même si le ciel était assez nuageux.
Un insecte que je n'ai même pas vu m'a piqué dans le cou, une piqure très douloureuse que j'ai soignée avec une méthode ancestrale : de la salive (puis de l'alcool pour désinfecter). Et ça a marché !
Mais aujourd'hui, je suis perclus de courbatures : dans les jambes, les bras, le dos. Rien d'étonnant : je n'ai pas arrêté, il y avait beaucoup à faire (et je n'ai pas fini !). Ca passera !
Tellement occupé que je n'ai même pas pensé à prendre des photos, même de ses hortensias que je n'ai jamais vus aussi beaux ! Une seule, le soir du lundi : la venue de la nuit sur le Revard :
5 commentaires:
Ah la chimio ça y est je connais autrement que par le oui-dire, car effectivement on l'utilise aussi contre la poly-arthrite rhumatoïde. Eh ben c'est effectivement du costaud. Là je la joue méduse échouée sur le sable ! J'espère que je m'en sortirai aussi bien que ton ami Émile.
Ah je vois qu'Attila fatigue finalement !
Plume> On en apprend des choses et comme on a pas de nouvelles directes... Alors espérons qu'au final, cela soit une piste prometteuse.
Bel ami.
Plume : je te le souhaite aussi, d'autant qu'il me semble que tu aimes bien vagabonder.
Cornus : Attila vieillit ...
Câo : et, en plus, je me fais plaisir !
Enregistrer un commentaire