- Passé l'après-midi à bouger les meubles dans mon bureau (sauf les bibliothèques, trop lourdes). Depuis longtemps, Calyste en rêvait, il l'a fait ! Belle occasion aussi pour déloger la poussière qui ne devait pas s'y attendre là où elle se trouvait ! Mais quel fourbi, en particulier avec tous les fils (ordinateur, chaîne hifi, lampe, imprimante, ....)
- Mes jeunes voisins du dessous s'en vont. Je les regretterai, même s'ils avaient mis un sacré bazar à leur arrivée. Lui, métis toujours souriant, elle plus froide et plus longue à découvrir. Et puis qui va les remplacer ?
- Demain, ce serait l'anniversaire (76 ans) de Pierre et de ma vieille voisine (89 ans). L'un qui me manque toujours, l'autre qui me manque déjà.
- Après les meubles, il faudra que je me penche sur le cas des livres. Mais là, ça risque d'être encore plus difficile. En plus, le frère de ma voisine m'en a apporté deux grands sacs poubelle. J'ai déjà trié : j'en garde quelques-uns, le reste (essentiellement essais politiques, ce qui ne m'intéresse guère) partira aux Sans-Abri.
- Enfin, totalement exaspéré par les débats actuels sur ce que l'on appelle "l'écriture inclusive" !
vendredi 13 octobre 2017
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7 commentaires:
Eh bien moi, je n'ai découvert l'écriture inclusive (systématique) que cette année en lisant un mémoire de stage. Cela ne m'a pas plu des masses tant je trouve la chose lourde du point de vue de la graphie. En plus, au lieu d'écrire le conservateur/conservatrice de musée, elle écrit les conservateur-e. Ou visiteur-e ou lieu de visiteur/visiteuse. Cela devient du grand n'importe quoi.
Calyste & Cornus > Ha ha ha !!!! Et que diriez-vous, mes pauvres, si vous aviez à faire à une langue à mutations consonantiques ? Je dis ça parce qu'en tant que membre du Conseil Scientifique de la Langue Bretonne je viens de me farcir une réunion de 4 h sur le sujet, pendant laquelle j'ai bien cru être arrivée au royaume du Grand Absurde. Et débat, dis-tu Calyste, débat à la noix, débat a posteriori, car les administrations ont déjà l'ordre (et le donnent et le font appliquer) d'utiliser la dite inclusion dans les documents et affichages publics. Quid des publics en difficulté, illettrés partiels, étrangers récemment arrivés, scolaires...ON S'EN FOUT !!!!!!!!!
Bref, je vomis le point médian (mais je sais le trouver sur mon clavier, hihihi)
Le point médian, je ne connaissais pas car dans le document dont je parlais, c'était le tiret ordinaire (-) qui était utilisé et non ce point médian (·). Je le fais grâce à Alt 0183. Je viens de lire que cela peut s'accompagner aussi de l'accord de proximité, ce qui est une autre ineptie. Je peut entendre les raisons féministes qu'il y a là-dessous. Mais au lieu de dire que "le masculin l'importe que le féminin", on ferait mieux de dire "la simplicité l'emporte sur la complicité", mais comme souvent on est en train de faire le contraire pour des raisons de réactions idéologiques et politiquement correctes (même si certaines sont certainement justifiées).
complexité et non complicité et Je peux et non je peut
Cornus : comme toi, je ne sais pas ce qu peut être le point médian.
Plume : j'évoquais plus précisément les nouveaux livres scolaires adoptant cette écriture et, comme toi, j'ai pensé à tous ceux que tu cites. On en rajoute une couche sur la difficulté alors que le problème (si problème il y a) entre hommes et femmes n'est vraiment pas là !
Des essais politiques pour les sans abri, tu es cruel !
Chroum : ou pédagogique ?
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