vendredi 13 octobre 2017

Hiver arctique

Toujours les même personnages, attachants, toujours Reykjavik, ses banlieues et son froid mordant. Indridason prend son temps, privilégiant souvent les dialogues, pour faire avancer l'enquête. On aurait parfois envie qu'il aille plus vite, et puis on se fait avoir, chaque fois.

Mais je crois que ce que je préfère chez cet auteur, c'est cette nostalgie morbide qui habite son personnage central et qui est sans doute un des aspects du caractère de l'écrivain.

Juste agacé par les coquilles de plus en plus nombreuses chez les éditeurs.
(Arnaldur Indridason, Hiver arctique. Ed. Métailié. Trad. de Eric Boury.)

2 commentaires:

Valérie de Haute Savoie a dit…

J'ai lu hier, de lui, La femme de l'ombre qui change totalement d'époque puisque cela se passe pendant la dernière guerre. J'aime toujours autant Indridason. Je crois que j'ai lu tous ses livres.

Calyste a dit…

Valérie : moi aussi, j'aime son univers. J'ai encore un de ses titres à portée de main.