Elles ne peuvent être que plurielles, odorantes et fragiles, rose pâle, celles qui, sous la tonnelle du jardin de mon enfance, parsemaient leurs pétales sur la page du livre entrouvert. Combien d'étés passés ainsi à humer leur parfum en compagnie de D'Artagnan, Rubempré ou Bob Morane...
Le parfum de ma jeunesse rêveuse en attente.
samedi 1 septembre 2012
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5 commentaires:
Et voilà, je reprends le chemin des blogs et mon clavier ne me fait plus de frayeur. Je passe lire tes billets, ton blog met de plus en plus de temps à s'ouvrir, tu publies trop :D
Et j'aime les roses, follement !
Ah les roses. Nos rosiers sont eux assez décevants, sauf le dernier planté qui en est à sa deuxième séance de fleurs.
Valérie: oui, Cornus m'a dit la même chose. Je ne sais pas d'où ça vient.
Heureux de te relire....
Cornus: celles-ci ne me déçoivent pas puisque ce sont celles de mon enfance.
Curieusement, alors que les fleurs comptent tant à mes yeux, j'ai été longtemps indifférent aux roses, voire condescendent. Bref, je pérorais sur le fait que c'étais la fleur que j'aimais le moins. Depuis que j'ai mon nouveau jardin et qu'elles y prospèrent et que je fais très attention d'en cacher les tristes pieds par des vivaces à l'anglaise et contre la tradition française, je commence sèrieusement à les aimer, sauf les raides, les guindées et sans parfum...
karagar: ce n'est pas non plus ma fleur préférée. Mais je les aime folles, en buisson et odorantes, bien sûr.
Heureux de ton passage ici.
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