La deuxième, à la mairie du 7°, ne correspondait absolument pas à ce que j'avais lu mais pas grave, le sujet m'intéressait : Parcours des Harkis et de leurs familles. Quelques photos prises (presque) au hasard.
Puis direction Espace Berthelot pour l'exposition Du Bleu de toutes les couleurs : si les peintures de Cécile Latreille, bien qu'intéressantes, ne m'ont guère accroché, j'ai en revanche été plus sensible à quelques sculptures de Pierre Royer.
Ensuite, tout près, l'hôpital Saint-Luc / Saint-Joseph qui présentait un historique des deux établissements aujourd'hui réunis.
Enfin, rue Cavenne, découverte d'un mur très particulier : Le Mur à poupées, contre les violences faites aux femmes, installation interactive puisque chacun peut y rajouter sa poupée.
4 commentaires:
C'est régulier que tu ailles voir plusieurs expositions dans la même journée.
Celle sur les Harkis et les sculptures de Pierre Royer m'auraient sans doute plu aussi.
Une poupée est aussi un pansement après une blessure ...
Bien le mur de poupées. Nous on a fait ici sur la place de la médiathèque un étendage de jupes et robes et petites culottes (on ne se refait pas !) et en musique (on ne se refait pas, bis). On ne s'attendait pas, pleins de gens sont venus faire leur accrochage à suivre.
Cornus : petites expositions et dans un rayon géographique réduit, ceci permettant cela.
Chroum : oui,voir la chanson inoubliable (un chef-d’œuvre !)de Bernard Menez !
Plume : mais là, la petite culotte, on va te rétorquer que c'est de la provoc !
Enregistrer un commentaire