Je suis passé d'abord à la vieille maison, celle où l'on a fait tant de fêtes et célébré beaucoup de mes dizaines d'anniversaire. Dans le jardin, nous avons bavardé avec son fils, sa belle-fille et sa petite-fille. Que de souvenirs ici aussi ! Puis, avec son fils, nous sommes montés à Pélussin, sur le versant sud du Pilat. c'est à que Georges a une chambre dans un Ehpad. Et, surprise, il y est heureux ! Il faut dire que les occupants sont peu nombreux, très bien encadrés et les locaux bien jolis dans la verdure.
On aurait dit que Georges nous attendait. Pourtant, il n'était pas prévenu. Il avançait vers nous dans un couloir et m'a reconnu immédiatement. Nous somme allés nous asseoir dans le parc, à l'ombre et sous une brise rafraîchissante et, volontairement, je me suis mis à évoquer longuement des souvenirs communs, de boulot bien sûr. Et il a bien resitué, à la grande surprise de son fils qui, au retour, m'a dit que j'étais tombé sur un très bon jour.
Il n'empêche que j'en ai été bien brassé et que je n'ai pas pu écrire là-dessus hier soir.
2 commentaires:
Ah, tiens, l'EHPAD de Pélussin avait été une option pour ma mère, mais j'y ai renoncé car c'était trop loin pour mon père.
Cornus : ça m'a l'air très bien. Mais effectivement, un peu loin pour ton père, quelle que soit la route suivie.
Enregistrer un commentaire