Et puis, j'ai combattu le lierre qui s'infiltrait entre les pierres d'un mur, et la glycine aussi, j'ai pourchassé le liseron, coupé les bâtons des roses trémières sèches, arraché des choses dont je ne connais même pas le nom. Et tout ça en tâchant de rester au maximum à l'ombre ! Car, si les nuits étaient supportables, les journées étaient torrides ! Heureusement, la chambre du bas, où je dors, est assez fraîche (la cave est en-dessous) et j'y ai fait de ces siestes !
Quand je suis reparti, tout ça avait repris une allure presque "humaine". Jusqu'à quand ?
4 commentaires:
Ah ben ça, un jardin dont plus personne ne s'occupe devient vite difficilement contrôlable et nécessite beaucoup d'énergie.
Cornus : tout ce qui est potager, il s'en occupe, mais le reste ...
Beau boulot !
Câo : faut dire que j'aime ça !
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