lundi 17 décembre 2018

Et pourquoi pas la peinture ? (34)

 

Autre style de peinture : la peinture réaliste. Ici, une toile de Andrew Wyeth (1917-2009) : Christina's word (1948. New York. Museum of Modern Art). On pense à Hopper, en plus monochrome, peut-être. Mais les impressions qui s'en dégagent sont les mêmes : l'espace (plus que chez Hopper), la solitude, la nostalgie.

En voyant ce tableau, je pense aux westerns, aux grandes prairies américaines (celles que j'évoque dans le tout premier billet de ce blog et qui m'en ont inspiré le titre), au film La Nuit du chasseur et au livre pour enfants de Alan W. Eckert, La Rencontre (1971), celui que je lisais à mes sixièmes à la dernière heure de la fin de semaine et qui les fascinait.

7 commentaires:

Cornus a dit…

Intéressant. Mais pas plus que ça pour ce qui me concerne.

plumequivole a dit…

Pas emballée non plus.

vaileka a dit…

Je ne connais pas ce peintre, je vais faire des recherches . Par contre, j'aime beaucoup Edward Hopper . Je suis fascinée par ses tableaux : son sens de la lumière et des ombres, le temps comme suspendu , la solitude de ses personnages .

karagar a dit…

intrigué, regardé vite fait d'autres... ça ne laisse pas indifférent du tout

Calyste a dit…

Cornus et Plume : je peux comprendre que l'on n'accroche pas.

Vaileka : Hopper, c'est mon préféré. Une amie m'avait offert un calendrier avec des reproductions de ses tableaux. Cela m'a donné l'idée de textes inspirées de quelques-uns de ces tableaux. Si ça t'intéresse, je les ai publiés ici, sur ce blog, entre le 10 juin 2010 et le 9 décembre 2010 (rubrique "textes" dans la colonne "libellés" à droite.

Karagar : je lui préfère Hopper mais aime beaucoup aussi ces tableaux.

vaileka a dit…

Ah oui ! Je viens de lire vos trois nouvelles " d'après Hooper " et elles reflètent tout à fait l'esprit des tableaux . Si je peux me permettre : très beaux textes , bravo à vous !

Calyste a dit…

Vaileka : merci beaucoup. Je crois qu'il y en a six ou sept, qu'il faudrait que je relise car je les ai un peu oubliées.