Ma sœur me parlait depuis longtemps d'un auteur de polars américain qu'elle aime beaucoup : Michael Connelly. J'en avais récupéré un, intact, dans une benne de la déchèterie du 7° arrondissement (ben oui, il y a encore moins cher qu'Emmaüs !) : Wonderland Avenue, une sombre histoire de cadavre retrouvé plus de vingt ans après son assassinat.
L'inspecteur ici, c'est Hyeronimus (dit Harry) Bosch (oui, oui, comme l'autre !). Le cadre de l'enquête est la région de Los Angeles et pourtant, j'ai dû faire effort plusieurs fois pour ne pas me retrouver dans l'Islande d'Indridason, tant ils ont de points communs, aussi bien pour le côté glauque de l'enquête que pour le caractère du héros de la police. Une différence de taille pourtant : les noms que Connely donne à ses personnages se lisent beaucoup plus facilement que ceux d'Indridason : la victime ne s'appelle-t-elle pas.... Delacroix !
(Michael Connely, Wonderland Avenue. Ed. Seuil. Trad. de Robert Pépin.)
dimanche 2 décembre 2018
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2 commentaires:
J'ai lu Le Poète du même auteur il y a quelques mois. Une lecture intense, haletante et agréable.
George : vu ton commentaire seulement aujourd'hui. Je viens d'en commencer un second du même auteur.
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