Et dire que nous avons failli ne pas pouvoir le visiter ! J'avais demandé à Jean-Claude, qui a l'habitude d'avoir dans son sac un couteau suisse, s'il avait bien pensé à ne pas l'apporter en visite. Il m'assure que oui. Arrivé devant le scanner du musée, je le vois avec une drôle de tête se diriger vers la sortie puis réapparaître un moment après. Le temps de mettre son deuxième couteau suisse dans sa poche, car seul les "bagages" étaient passés dans l'engin. Pas de fouille à corps !
4 commentaires:
Que de merveilles. N'y avait-il pas des vitrines pour ces statues ? On a l'impression qu'il n'y en a pas sur tes photos, lesquelles sont globalement bien réussies.
je réitère ma remarque et ajoute que j'aurais aimé des explications pour certains...
Cornus : non, pas de vitrines, sauf devant les cinq dernières. Pour les autres, des cordons, parfois.
Karagar : les explications se seraient souvent résumées à "anonyme" ou à des noms d'églises inconnues et aujourd'hui disparues. J'aurais pu indiquer le siècle, mais, honnêtement, je n'ai pas pensé à le noter (même en l'ayant lu), tellement j'étais fasciné par ce que je voyais.
Karagar : d'après mes souvenirs, XI°-XIII°.
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