Voilà bien un roman aussi compliqué que le nom de son auteur : Alan Hollinghurst ! Une sorte de saga familiale (en fait deux familles) sur trois générations, dans un monde à la Jane Austen, mâtiné d'homosexualité sous-jacente (ou pas). J'ai eu beaucoup de mal pendant les deux premières parties à me repérer parmi les nombreux personnages, ce qui m'a singulièrement compliqué la lecture, d'autant que, lors mon périple à Dijon, je ne lisais que peu le soir, fatigue oblige. Pour copier Austen, on pourrait intituler ce roman : Mensonge et omission, et je ne pense pas qu'il m'en restera grand chose d'ici quelques mois.
(Alan Hollinghurst, L'Enfant de l'étranger. Ed. Albin Michel. Trad. de Bernard Turle.)
mardi 22 août 2017
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