Lorsque j'ai émis l'intention de me lancer dans la lecture de Shakespeare, je ne pensais pas coller autant à l'actualité. J'ai appris que l'on célébrait ces jours-ci le 400° anniversaire de sa mort. Arte a eu la bonne idée de marquer l'événement : ce soir, la chaîne retransmet Le Songe d'une nuit d'été et hier, j'ai pu voir une émission très intéressante sur les questions que pose la véritable identité du grand William, puisqu'il semble quasiment certain qu'il ne s'agit pas de l'homme né à Stratford-upon-Avon. Alors qui ? Le deuxième comte d'Essex ? Christopher Marlowe ? Francis Bacon ? La réponse n'est pas prête d'être donnée car on ne déboulonne pas aussi facilement un si grand mythe.
Mais ce qui m'a surtout intéressé dans cette émission d'hier soir, c'est toute la première partie concernant les pièces "italiennes" du dramaturge localisée à Venise, Padoue ou Vérone entre autres. Un érudit les a lues et examinées à la loupe et en a déduit que Shakespeare ne pouvait pas ne pas connaître directement, par des voyages, ces villes de la botte, tant les indications géographiques que l'on trouve dans ses écrits sont précises. Une occasion aussi pour moi de revoir la belle Vérone, visitée il y a très longtemps et où j'aimerais retourner.
lundi 25 avril 2016
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2 commentaires:
Moi aussi je me suis fait une longue soirée William hier mais je n'ai rien trouvé de très passionnant. Un peu déçue.
Plume : hier soir, rebelote avec Le Songe d'une nuit d'été et Ran.
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