Ça commençait bien : un homme qui quitte la Grèce pour échapper aux turcs et prend en charge quarante fiancées palestiniennes en route pour découvrir leurs promis au Chili. Ça ne pouvait que me plaire ! Ça se poursuivait encore mieux : je retrouvais l'ambiance de Cent ans de solitude, de Garcia Marquez, cette folie sud-américaine qui m'enchante.
Et puis, fatigue aidant ces jours-ci, je me suis perdu en cours de voyage, mélangeant les personnages, leurs liens de parenté et je n'ai plus eu, pour me raccrocher que la beauté du style et la poésie des évocations. Un livre donc à côté duquel je suis passé.
(Miguel Littin, Le Voyageur bysantin. Ed. Métailié. Trad. de Bertille Hausberg.)
lundi 18 avril 2016
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4 commentaires:
C'est intentionnel le "s"?
Karagar : un promis chacune dont quarante promis au total.
Le "s" de byzantin, je voulais dire...
Karagar : comme disait ma grand-mère : "il faut que ça te tombe sur le pied pour que tu le voies !". Merci. (et en plus, je l'avais écrit correctement à la fin du billet.)
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