Si ces jeunes passent la nuit dans l'église, le matin ils quittent les lieux pour retrouver leur campement de fortune ou pour se rendre au Secours Populaire afin d'y apprendre le français. L'archevêque de Lyon, dès le premier soir, s'est rendu sur place pour dialoguer avec eux et les membres du collectif Soutien Migrants Croix-Rousse qui les aide
Le diocèse affirme ne pas vouloir les expulser et demande aux autorités de trouver une solution durable. Il est d'ailleurs prêt à en accueillir une partie mais ne peut absorber toutes les demandes.
Dernières précisions : la plupart sont de nationalité guinéenne, sénégalaise ou malienne. Le campement se situe à quelques dizaines de mètres du siège de la Métropole de Lyon.
3 commentaires:
Bon, le diocèse semble faire à peu près bien son "boulot", ce qui est logique.
on en a parlé dans les média
Cornus : je trouve même ça bien.
Karagar : oui, souvent.
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