(Yrsa Sigurdardottir, ADN. Ed. Babel noir. Trad. de Catherine Mercy.)
lundi 4 décembre 2023
ADN
Je ne sais pas si c'est de cette autrice islandaise dont parlait un jour Plume. Il faut dire que ces patronymes ne sont souvent pas facile à retenir. Que dire de ce polar de Yrsa Sigurdardottir sinon qu'après avoir eu du mal à y entrer (les chapitres se suivent sans visiblement de lien entre eux mais petit à petit...), j'ai fini par comprendre. Ce que j'ai le plus aimé, c'est une sorte de douceur chez cette femme, même lorsqu'elle décrit des meurtres dont l'horreur est absolue. Jamais de recherche du spectaculaire, jamais d'appel au sadisme enfoui du lecteur. Ca repose des parfois grosses ficelle américaines !
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2 commentaires:
Ah je connais la femme mais je ne l'ai pas lu celui-là. Je délaisse les polars islandais en ce moment.Le côté "filon qui rapporte" ça me gonfle de + en +. Ils ont tellement d'autres choses !
Plume : celui-ci me semble un peu différent.
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