Je le pensais déjà décédé. Mon père ne le portait pas spécialement dans son cœur car quand il était président de l'Assemblée nationale, lui et ses collègues de l'usine voulaient le voir et il refusait de les recevoir. Par conséquent, lorsqu'ils occupaient l'usine, ils affrétaient régulièrement un / des bus et allaient à Vienne devant la mairie pour manifester avec une sono. Mais l'autre ne bougeait pas et envoyait les CRS à leur rencontre. Il n'y a jamais eu de violence. Autour de 1983-84, j'avais même accompagné mon père une fois.
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Je le pensais déjà décédé. Mon père ne le portait pas spécialement dans son cœur car quand il était président de l'Assemblée nationale, lui et ses collègues de l'usine voulaient le voir et il refusait de les recevoir. Par conséquent, lorsqu'ils occupaient l'usine, ils affrétaient régulièrement un / des bus et allaient à Vienne devant la mairie pour manifester avec une sono. Mais l'autre ne bougeait pas et envoyait les CRS à leur rencontre. Il n'y a jamais eu de violence. Autour de 1983-84, j'avais même accompagné mon père une fois.
C'est vrai qui pouvait ne pas être facile.
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