dimanche 3 octobre 2021

Le salon des refusés

A l'instant, dans le poste, on parle d'Eugénie Grandet, de Balzac. Moi qui ai dévoré Balzac dans mon adolescence, je n'ai jamais pu avaler celui-là, et ce n'est pas faute d'avoir essayé ! Il en est de même pour certains autres classiques ou best-sellers qui me sont tombés des mains. Alors, voici un petit salon  de mes refusés :

- L’Éducation sentimentale, de Flaubert (et j'aime Flaubert)

- Au-dessous du volcan, de MalcomLowry

- Sa majesté des mouches,de William Golding

- Ulysse, de James Joyce

- Les Puissances des ténèbres, de Anthony Burgess

Et deux rattrapés par les cheveux au fil des années :

- L'Etranger, de Camus

- Le Lion, de Kessel

5 commentaires:

plume a dit…

Moi j'ai calé, définitivement, sur l'Étranger et sur tout Camus. J'avais calé sur Bovary mais au deuxième essai, récent, j'ai dévoré. Par contre Le rouge et le noir de Stendhal, rien à faire, allergie totale
Balzac...m'ennuie irrémédiablement, j'y peux rien.
J'ai aussi calé sur 100 ans de solitude.
Je cale aussi sur les Russes.
Ça fait un paquet !!!

karagar a dit…

je me suis emmerdé sur la Peste, emmerdé sur Bovary (a tel point qu'il faut que re réessaye ), la père Goriot lu à l'école ne m'a pas donné envie de continuer quant à Stendhal, j'ai pas dépassé les 40 pages, ça me mettait de mauvaise humeur tellement je n'arrivais pas à rentrer dedans... Céline je pense que je n'ai pas dépassé les 3/4 pages. Je dois dire que je sais très vite quand le style d'un auteur ne me convient pas, je peine à lire une page sans que mon esprit vagabonde irrémédiablement...

Calyste a dit…

Plume : ah oui, les russes! je 'ai jamais fini les Frères Karamazov (à cause des noms, prénoms, diminutifs ...). Pour Guerre et paix, j'ai dû sacrément me motiver pour le finir.

Karagar : Céline, moi non plus, je ne peux pas.

Cornus a dit…

Eh bien moi, j'ai lu Madame Bovary, mais c'était au lycée. J'avais trouvé bien le style et les effets littéraires, mais je dois dire que l'intrigue était tout sauf palpitante. En fait, seules les premières page du jeune Bovary m'avaient véritablement séduit.
Pour le reste, je ne connais pas (sauf quelques extraits). J'ai essayé Voyage au bout de la nuit (que ma mère avait lu) et vraiment, c'est illisible.

Calyste a dit…

Cornus : même chose pour Voyage au bout de la nuit.