En fait, c'est bien plus que simple polar (un chapitre sur deux est consacré à l'enfance de Fin, en rapport étroit avec ce qui se passe lors de son enquête) et les questions se posent au lecteur jusqu'à la fin. Pourtant tout est logique quand on comprend ce qui meut ce monde des chasseurs de "gugas" sur l'îlot rocheux d'An Sgeir.
Et une des splendeurs du roman, c'est l'évocation de la nature sauvage et des colères monstrueuses de la mer, que j'ai adorée (cela va en surprendre certains du côté de la Bretagne !).
(Peter May, L'Île des chasseurs d'oiseaux Ed. Babel noir. Trad de Jean-René Dastugue.)
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