Le repas eut lieu en terrasse ombragée, chez Marguerite. Précision : Marguerite n'est pas une vieille cuisinière mais Marguerite d'Oingt, morte en 1310, que l'on considère généralement comme le premier écrivain femme lyonnaise. Le restaurant est juste en face de la dernière porte des remparts encore debout où l'on voit sa plaque commémorative.
Ensuite, promenade dans les rues du bourg où je découvre de nouvelles choses dont le vieux pressoir. à perroquet (XIX°). Malheureusement, le Musée de la musique mécanique (orgues de barbarie), que je voulais faire découvrir à mon ami, était fermé.
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| Expo sous le donjon |
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| Le pressoir à perroquet |
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| Église St-Mathieu (X°, XI°, XIV°, XVIII°) |
Non loin de là, Saint-Vérand où se tient une brocante (plutôt un vide-grenier)
4 commentaires:
Ah... très bien. Non, je ne connais pas le Beaujolais ! Et ne pas confondre ce Saint-Vérand avec l'autre pas loin de Saône-et-Loire avec son blanc Saint-Véran sans d.
Cornus : alors, à mettre dans les projets. Il y a aussi St-Véran dans les Hautes-Alpes.
Calyste> Oui, mais le Saint-Véran est meilleur ! 🥂🥂🥂
Cornus : et c'est un connaisseur qui écrit !
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