Comme par malignité, un grand soleil brillait quand nous avons quitté les lieux, alors que le reste de la semaine, mis à part le mercredi (ou le jeudi), avait été plus que maussade (neige et, pire, pluie). Mais ce fut, comme d'habitude, l'occasion de goutter au vin chaud à la cannelle, au génépi en soirée, et de manger les plats locaux : raclette, diots, fromages (tommette de chèvre et de brebis, tomme de vache), ou pas locaux du tout : fondue bourguignonne. Pas de fondue savoyarde cette année : avec la raclette, ça fait beaucoup.
Aucun problème pour faire ses courses dans le supermarché local : tous les rayons étaient approvisionnés, ce qui n'était pas le cas aujourd'hui lorsque j'ai voulu remplir mon réfrigérateur à Lyon ! Le seul "fou" que nous avons croisé à Megève était un homme qui avait chargé son chariot d'une bonne trentaine de boîtes de haricots verts !
Côté activité "sportive", pour moi deux sorties à raquettes. J'ai zappé la troisième pour cause de muscles vieillissants et l'ai remplacée par une balade à pieds jusqu'au sommet du Calvaire qui domine la station.
Côté culture, deux heures passées à une exposition sur Jean Marais (et Cocteau, bien sûr). Même si je ne suis un fan absolu ni de l'un ni de l'autre, je l'ai trouvée intéressante, en particulier pour des peintures inattendues de Marais et des photos autour des tournages de ses films.
La Petite Ravine (sur Combloux). Après la montée rude à raquettes, un bon verre de vin chaud à la cannelle face au Mont-Blanc. |
3 commentaires:
Il y a trois ans, tu venais de quitter Mégève. Je viens de relire les billets que ton séjour t'avait inspiré. Je suis curieux de comparer.
Bon retour !
Pippo : j'y vais chaque année depuis assez longtemps à la même époque.
Cornus : merci.
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