Et pourtant, j'ai dû faire beaucoup d'effort pour le terminer. Je trouve sa composition mal fichue, sa traduction incertaine (on se demande souvent qui est "elle", Marion, la directrice, ou Brenda, son employée et amie). Je n'ai ressenti aucune empathie pour ce personnage à la recherche de ses origines.
(Zoë Wicomb, Des Vies sans couleur. Ed. Phebus. Trad. de Catherine Lauga du Plessis)
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