Après quelques courses et une bonne bière à Massiac (Cantal), nous prenons la route du gîte. En fait, je devrais dire , nous cherchons la route car aucune indication dans Besle. De plus, un village voisin, sur l'itinéraire, a changé de nom : de Saint-Étienne-sur Blesle, il est devenu Saint-Étienne-le-Cheylat. Mais le monde est petit : l'homme à qui nous demandons notre chemin est le cousin d'un haut-savoyard qui a séjourné au gîte pendant une dizaine d'années. Bon signe, en plus : s'il a loué dix ans, c'est qu'il devait y être bien ! Cinq kilomètres plus loin, après deux petits ponts sur la Voireuse et quelques grumes rangées en bord de route, nous découvrons le hameau et le grand marronnier qui donne son nom au gîte.
La propriétaire est douce et un peu effacée, triste peut-être (nous découvrons après qu'elle a perdu son mari au mois de novembre dernier). La maison est une ancienne grange transformée en habitat: grande cuisine et salon en bas, deux chambres avec chacune sa salle de bains en haut. Devant, une terrasse où nous prendrons l'apéritif, au milieu des papillons et des roses trémières. Ça nous va, d'autant que la maison mitoyenne est inoccupée depuis des années (problème d'indivision) !
4 commentaires:
Bon camp de base.
Câo : excellent, pour des virées journalières et des soirées pépères !
Superbe le gîte. Tiens, cela me fait penser à la propriétaire du gîte breton dont je n'ai encore rien dit. Très miè(v)res, les roses ! :-)
Cornus : très bien aménagé, fonctionnel et surtout frais !
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