J'ai tourné longtemps, très longtemps, autour de ce roman. Ma sœur l'avait lu, elle me l'a prêté. Encore un pavé, et, en ce moment, j'ai du mal à conserver ma vitesse (parfois excessive) de lecture. Mais voilà, j'en suis venu à bout cet après-midi.
J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans cette histoire de chute d'un "boursicoteur" à New-York, non pas tant par le thème abordé mais par le style de Tom Wolfe, très haché, aux phrases inachevées qui m'ont souvent fait penser à Céline que je n'ai jamais pu vraiment lire.
Et puis j'ai accroché à ce cauchemar parfois drôle à cheval entre Central Park et le Bronx. D'autant qu'en lisant, je ressentais plus que des échos avec ce qui se passe actuellement aux États-Unis suite à la mort d'un jeune noir. C'est un livre fascinant !
( Tom Wolfe, Le Bûcher des vanités. Ed. Le Livre de poche. Trad. de Benjamin Legrand.)
lundi 8 juin 2020
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2 commentaires:
Le "jeune" avait 46 ans!
Plume : donc encore jeune, pour moi....
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