Au menu, tartare de bœuf (cru pour moi, légèrement poêlé pour elle). Pour une fois, rien à rajouter à l'assaisonnement. Avec ça, salade et frites, arrosées d'un petit Côte du Rhône. Dessert pour moi : profiteroles. Sympa, comme d'habitude. A la table à côté, deux hommes, d'âges inégaux. Le plus jeune avait un très léger accent. Italien sans doute. Je suis de plus en plus sensible aux accents.
Pour le service, deux hommes aussi, d'âges tout aussi inégaux. Le plus vieux avait l'air d'un maître d'hôtel, mince, cheveux grisonnants, légèrement clairsemés. depuis longtemps dans le métier apparemment. L'autre, beaucoup plus jeune, nous a servis. Brun, bien peigné, même chemise, même pantalon. Mêmes masques aussi. En les voyant tous les deux, j'ai eu comme l'impression de lire l'avenir du jeunot...
7 commentaires:
première fois que je vois mentionné un tartare poêlé...
Jérôme : moi aussi. En fait passé rapidement, un coup d'un côté, un coup de l'autre.
Je n'ai jamais véritablement mangé de tartare de bœuf et cela ne me dit rien d'essayer.
Je suis très "tartare" mais pas poêlé.
Bleck
Cornus : moi qui ne suis pas très viande, j'aime bien.
Bleck : auparavant, je ne savais même pas que ça existait.
tu les imagines mariés dans le futur, c'est ça, :) :)
Karagar : pas vraiment, non. Mais copies conformes.
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