Lire du Maxence Fermine, c'est prendre une petite pause (les romans que je connais de lui sont courts) en étant sûr du bonheur qu'elle va procurer. Et
Le Violon noir, c'est du bonheur, bonheur de l'histoire de ce violoniste à Venise au début du XIX°, mi réaliste, mi fantastique, bonheur de la phrase qui dit et qui suggère en peu de mots, bonheur du style, poétique, qui semble ne pas pouvoir être autre. Bonheur du jour, bonheur d'un soir.
Le livre, acheté chez Emmaüs, avait été dédicacé par l'auteur : Pour Gwendoline.
(Le Violon noir, Maxence Fermine. Ed. Arléa.)
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