Et si l'on se penchait sur les Pietà ? La matière n'en manque pas. En voici quelques-unes, en en attendant peut-être quelques autres.
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Pietà (XVI°), Luis de Morales (Académie royale des beaux-arts San Fernando (Madrid)
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Pietà (1580-90), Le Greco (coll. particulière)
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Déploration du Christ (entre 1455 et 1460), Dieric Bouts (Louvre, Paris)
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Pietà (1889), Vincent van Gogh (d'après Delacroix), (Musée Van Gogh, Amsterdam)
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Pietà et le donateur Giovani de Elthini (1368), Simone de Filippo (Musée Davi Bergellini, Bologne) |
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Pietà (vers 1483-95), Le Pérugin (Galerie des Offices, Florence)
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Pietà (vers 1530), Michel-Ange (coll. particulière)
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Le Christ au lièvre (?), auteur inconnu (Église de Rennes-les-Bains)
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Pietà (entre 1571 et 1576), Le Greco (Musée des Beaux-Arts, Philadelphie)
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Pietà (vers 1460), Giovanni Bellini Pinacothèque de Brera, Milan)
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4 commentaires:
le christ du Greco évoque plus un abandon sensuel que la mort
Elles ont toutes leur intérêt. Assez d'accord avec le Karagar pour le premier Greco.
Karagar : c'est assez souvent le cas, comme pour les saint Sébastien.
Cornus : moi, celle qui m'a surpris, c'est celle de van Gogh.
Calyste> aussi.
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