vendredi 13 août 2021

Et pourquoi pas la peinture ? (158)

Et si l'on se penchait sur les Pietà ? La matière n'en manque pas. En voici quelques-unes, en en attendant peut-être quelques autres. 

Pietà (XVI°), Luis de Morales (Académie royale des beaux-arts San Fernando (Madrid)
Greco (Domínikos Theotokópoulos), "Pietà" 1580-1590, collection particulière (© collection particulière)
Pietà (1580-90), Le Greco (coll. particulière)

Déploration du Christ (entre 1455 et 1460), Dieric Bouts (Louvre, Paris)
Vincent van Gogh: Pietà (after Delacroix), The
Pietà (1889), Vincent van Gogh (d'après Delacroix), (Musée Van Gogh, Amsterdam)
Pietà et le donateur Giovani de Elthini (1368), Simone de Filippo (Musée Davi Bergellini, Bologne)
Image dans Infobox.
Pietà (vers 1483-95), Le Pérugin (Galerie des Offices, Florence)
Michelangelo Buonarroti: Pietà (painting)
Pietà (vers 1530), Michel-Ange (coll. particulière)
Le Christ au lièvre (église de RLB)
Le Christ au lièvre (?), auteur inconnu (Église de Rennes-les-Bains)
El Greco : Piété
Pietà (entre 1571 et 1576), Le Greco (Musée des Beaux-Arts, Philadelphie)

Pietà (vers 1460), Giovanni Bellini Pinacothèque de Brera, Milan)

4 commentaires:

karagar a dit…

le christ du Greco évoque plus un abandon sensuel que la mort

Cornus a dit…

Elles ont toutes leur intérêt. Assez d'accord avec le Karagar pour le premier Greco.

Calyste a dit…

Karagar : c'est assez souvent le cas, comme pour les saint Sébastien.

Cornus : moi, celle qui m'a surpris, c'est celle de van Gogh.

Cornus a dit…

Calyste> aussi.