Samedi 07 août (1)
Dordogne et Bourgogne sont les deux mamelles de mes plaisirs (et pas seulement, n'en déplaise à certains, parce qu'elles donnent à profusion le nectar de la dive bouteille) ! Alors, pour trois jours, arrivederci Lyon et direction plus au nord.
Première étape à Belleville-en-Beaujolais pour y visiter l'Hôtel-Dieu. Beaucoup moins impressionnant que celui de Beaune, il fut fondé en au XVIII° siècle (1733), agrandi au XIX°, et a fonctionné jusqu'en 1991. A l'origine il abritait quatorze malades seulement. Aujourd'hui musée, il a conservé les meubles d'origine des salles d'hospitalisation.
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| La maternité |
Ensuite, pour oublier le temps plus que maussade, repas au restaurant avec œufs meurette et très bon tartare de viande charolaise. Le vin ? Un verre de Givry qui ne me laissera pas un souvenir impérissable.
4 commentaires:
Ah tu es passé en Bourgogne, et tu ne nous en as rien dit... alors que nous y sommes depuis une douzaine de jours... Bon, c'est la Bourgogne d'extrême sud !... Le Givry, ce n'est pas extra de mon point de vue. Dans la côte chalonnaise, le Rully et surtout le Mercurey sont bien meilleurs. Je ne comprends pas bien pourquoi il y a eu autant d'engouement pour le Givry depuis une quinzaine d'années.
Cornus : je ne connaissais pas ce vin mais je vais l'oublier sans tarder. Vue la carte (merci à tous les deux), je vous croyais du côté du Cher ....
Calyste> Nous n'avons fait que passer dans le Cher. Comme souvent, nous avons convergé vers les terres éduennes.
Cornus : alors nous ne devions pas être loin du tout les uns des autres ! Tu comprendras en lisant mes prochains billets.
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