La comparaison de Michael Collins avec James Ellroy et Stephen King m'aconvaincu de lire ce roman. Je n'aurais pas dû ! Voilà bien un "polar" qui m'a considérablement ennuyé ! L'intrigue aurait pu être passionnante (des meurtres de jeunes filles au sortir du bus scolaire qui les ramenait chez elles) si elle n'était sans cesse alourdie par des considérations littéraires et philosophiques à n'en plus finir. Ce que j'aime dans les polars, c'est le côté direct, l'action omniprésente et tant pis si c'est parfois (pas chez les grands) au déprofit de la profondeur des personnages. Ici, la profondeur était telle que je m'y suis noyé !
(La Vie secrète de E. Robert Pendleton, Michael Collins. Ed. Christian Bourgois. TRad. de Jean Guiloineau.)
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