Encore un Connelly. L'intrigue est intéressante, Bosch toujours aussi atypique, mais il me semble que, dans ses polars, l'auteur fait une place de plus en plus importante aux rouages des institutions policières aux États-Unis : LAPD, bien sûr, mais aussi, et cette fois-ci, d'une manière particulièrement développée, .le FBI et autres instances dont j'ai déjà oublié les noms.
Monsieur Connelly doit avoir de belles entrées dans ces milieux-là pour en connaître si bien tous les rouages. Et l'écriture de ses romans doit être précédée d'un sacré temps de documentation.
(Michae Connelly, A genoux. Ed. du Seuil. Trad. de Robert Pépin.)
samedi 29 février 2020
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