Mais ça faisait tout de même beaucoup. Deuxième réaction de ma part : sans doute un lieu de vente de drogues en tout genre. Or, souvent, les "stationnaires" repartaient sans voir personne. Et puis, me dis-je in petto, ce n'est pas mes oignons. Mais vous me connaissez, je voulais connaître le fin mot de l'histoire.
Et je l'ai eu avant-hier, grâce à un voisin de l'immeuble à côté dont je raconterai plus tard la façon dont j'ai fait la connaissance (ça avait très mal commencé ...). Bref, ce jeune papa a éclairé ma lanterne en me révélant que, dans son immeuble, deux dominicaines faisaient "commerce de leurs corps" (sic). Et voilà mon éducation judéo-chrétienne qui se ramène illico ! Deux religieuses ? Après tout, avec tout ce qu'on apprend de l’Église aujourd'hui, pourquoi pas !
Non, il s'agit de deux jeunes femmes de la République dominicaine qui donnent rendez-vous par téléphone à leurs éventuels clients, en prenant soin de les observer d'en face avant de donner la véritable adresse. C'est effectivement ce que j'ai observé hier soir avec un grand black en doudoune qui, sans doute, avait besoin de câlins ...
5 commentaires:
Ha ha ha moi aussi j'ai pensé à des nonnettes en folies avant de lire la suite !
non mais tous les deux! vous voyez le diable sous toutes les robes de bure ;-)
Ah ben ça alors, il s'en passe des choses dans ton quartier.
les dominicaines, même vision que toi d'emblée !!
Plume : pour la même raison, j'imagine ?
Jérôme : jamais eu envie d'aller voir là-bas dessous !
Cornus : ça égaie mes journées de concierge d'occasion !
Karagar : elles sont sans doute aujourd'hui plus nombreuses que les autres .
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