Hier, c'était le grand soir : je revoyais mes copines de fac. Nous nous étions déjà retrouvés il y a deux ans et puis un sale virus s’est installé .... Nous étions huit, tous se connaissant depuis la première année, dont Hélène, absente la dernière fois à cause d'une maladie grave. J'étais vraiment heureux de la voir. Je me souviens d'elle comme une musicienne, une pianiste, qui parfois jouait sur le vieil instrument au-dessus du resto-u. Je ne l'avais jamais revue depuis mes années fac. Elle habite maintenant à Nantes.
Retrouvailles dans un hôtel près de Perrache puis restaurant rue des Marronniers, dans un bouchon sympathique et, pour finir, un dernier verre au Français où je n'avais plus mis les pieds depuis ... Bon, passons.
Et le plus surprenant, c'est qu'au-delà des anecdotes de l’époque, nous avons toujours quelque chose à nous dire.
3 commentaires:
Voilà qui est plaisant. Parmi mes collègues de fac, beaucoup ont disparu de la circulation. Il faut dire que j'ai fait beaucoup de formations différentes, ce n'est pas monobloc. Je n'ai presque aucune nouvelle. C'est dommage...
cet étonnement de jeune fait plaisir à lire ...
Cornus : oui, c'est dommage. C'est avec plaisir que je les revois.
Câo : je suis resté très gamin (c'est vrai, quelque part).
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