Moi qui suis, en littérature, très japonophile, j'ai l'habitude d'être parfois surpris dans mon esprit profondément latin. Là encore, je n'ai pas été déçu ! Que raconte ce roman ? Très difficile à résumer : pas un livre d'actions, c'est sûr, plutôt de fines notations sur le bonheur, la maternité , la famille, la cuisine, la nature, les sanctuaires, avec un fil conducteur cependant.
J'ai failli l'abandonner au bout d'une cinquantaine de pages. J'aurais eu tort. Peu à peu, la petite musique s'installe et on est triste lorsque retentit la dernière note ...
(Ogawa Ito, La République du bonheur. Ed. Picquier. Trad. de Myriam Dartois-Ako.)
2 commentaires:
Il faut tordre les torts ! 😁
Cornus : oui, car le tort tue !
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