Vendredi, nous devions, ma sœur et moi, aller fleurir les tombes dans la Loire grâce à l'aide d'une ancienne collègue et de sa voiture (je ne conduis toujours pas, cicatrice ventrale oblige). Annulé donc ! Mais ce n'est pas si grave que ça : les défunts que nos aimions nous pardonneront, j'en suis sûr.
Non, ce qui m'énerve, c'est de ne plus pouvoir penser : "tiens, si, cet après-midi, j'allais me promener dans les bois, si j'allais visiter cette chapelle, prendre des photos ici ou là. Et surtout de ne plus pouvoir le faire ! Et puis, je suis ainsi fabriqué que, lorsqu'on m'interdit de faire quelque chose, j'ai immédiatement envie de contourner l'interdiction. Encore ado, moi ? Non, libre, autant que possible.
4 commentaires:
Ben oui, ça va être encore sérieusement pénible pour plein de raisons. Encore l'impression d'étouffer.
Bien sûr qu'on a de quoi lire et relire, on peut échanger aussi. Mais les librairies ? On les laisse crever à petit feu ?
Même expérience que toi à propos du papier hygiénique, avec trois qualités différentes :
1) la Gazette de Liége, déplaisant, car l'encre était mal séchée ;
2) La Libre Belgique, bien meilleur ;
3) le sommet, c'était chez mon grand-père paternel. Bourgmestre de son petit village, il recevait chaque matin le Moniteur belge, d'excellente qualité.
Je recommande l'usage des doigts, bien plus simple.
Cornus : sans doute plus pénibles pour vous, les actifs, que pour moi, retraité.
Plume : ce n'est pas ce que j'ai dit.
Pippo : Ah oui, l'encre de l'époque. On s'en mettait plein les doigts en lisant le journal !
Et justement, pour les doigts, je ne suis pas sûr de suivre ton conseil ...
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