Sur mon lit de douleur (c'est peut-être un peu beaucoup, non ?), je ne suis pas resté inactif. Entre soins, repas et somnolence, je me consacrais aux mots croisés (Michel Laclos) et à la lecture. Je devais terminer un roman atypique de Michael Connelly : Le cinquième Témoin. Atypique car il ne s'agit pas à proprement parler d'une enquête policière mais bien plutôt du compte rendu très précis d'un procès où l'accusée est défendue par Mickey Haller, avocat croisé dans d'autres opus. Passionnant, d'autant que la série The good Wife m'avait auparavant familiarisé avec la façon dont la justice est rendue aux USA. L'arrière plan en est la crise des subprimes qui provoqua la faillite de nombreux petits propriétaires immobiliers.
Je ne sais pas combien de temps met Michael Connelly pour écrire ses romans ni de combien d'aides il bénéficie, mais je suis toujours surpris par la précision de ses connaissances et la façon très agréable qu'il a de les transmettre. A lire, vraiment.
(Michael Connelly, Le cinquième Témoin. Ed. Calmann-Lévy. Trad de Robert Pépin.)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire