J'ai appris quasi simultanément ce week-end, la disparition de trois artistes d'un âge plus ou moins avancé.
- D'abord, l'actrice américaine Doris Day (de son vrai nom Mary Ann von Kappelhoff), le 13 mai dernier, à 97 ans. J'ai déjà posté ici la chanson qu'elle interprète dans L'Homme qui en savait trop, de Hitchcock en 1956. En voici une autre, conseillée par Frédéric, dans un tout autre style.
- Ensuite, une française, certes un peu oubliée aujourd'hui, une lyonnaise même : Paulette Michey, autrement dit Mick Micheyl, le 16 mai, également âgée de 97 ans. Chanteuse mais aussi sculptrice : je l'avais même rencontrée, grâce à des amis communs, lors d'une exposition à Lyon de ses "peintôles" (sculptures sur acier). Voici une chanson que j'ai souvent entendue chantée par mon père quand j'étais.... gamin.
- Enfin, le 19 mai, Nilda fernandez, dont le cœur, "insuffisant" s'est arrêté le 19 mai, hier, à 61 ans. Il a lui aussi un peu flirté avec la région lyonnaise. Si son nom ne vous dit rien, peut-être vous souvenez-vous de cette chanson : Madrid Madrid (1987) :
lundi 20 mai 2019
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5 commentaires:
J'ai entendu l'annonce de la disparition de Doris Day, et oui, c'était pas mal. La deuxième, pas spécialement fan (de l'interprétation). Le troisième, pourquoi pas.
Je ne connais que très peu Nilda Fernandez mais je pense que l'artiste était éclectique et digne d'intérêt.
Bleck
Cornus : ce n'est effectivement pas le meilleur enregistrement de la chanson de Mick Micheyl, mais j'ai choisi celui-ci parce qu'elle y apparaît.
Bleck : oui, une voix peu courante et un physique atypique pour un chanteur de variétés.
J'ai l'impression d'avoir vécu avec Nilda Fernandez sans l'avoir jamais rencontré. Après coup, c’est dommage,
Georges : ça ne devait pas être désagréable !
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