Ensuite, et surtout, Le Professeur (La prima notte di quiete), de Valerio Zurlini (1972), avec Alain Delon, Léa Massari, Giancarlo Giannini, Renato Salvatori et, dans un petit rôle, Alida Valli. Daniele (Delon) est nommé comme remplaçant au lycée de Rimini et, bien que séparé d'elle, vit toujours avec sa femme (Massari). Parmi ses élèves riches et oisifs, il remarque Vanina (Sonia Petrovna, présente aussi dans le film de Visconti, Ludwig ou le Crépuscule des dieux), une jeune fille trop secrète. Un film splendide, qui rappelle, par certains côtés, La Dolce Vita de Fellini. Un film qui m'a confirmé ce que je pense depuis longtemps : à très peu d'exceptions près, je ne supporte Delon que dans ses films italiens !
samedi 12 décembre 2020
Deux découvertes cinématographiques
D'abord Jeunes filles en uniforme (Mädchen in Uniform), de Géza von Radvanyi (1958), une histoire d'internat de jeunes filles à la discipline très stricte où une élève (Romy Schneider) tombe éperdument amoureuse d'une enseignante (Lilli Palmer), et où la surprise vient de deux rôles secondaires : Marthe Mercadier en professeur de maintien, et Paulette Dubost en cuisinière du pensionnat. Une approche assez feutrée de l'homosexualité féminine.
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4 commentaires:
Vu l'époque où l'histoire est censée se passer, et en pleine Prusse, et vu aussi la date du film, c'est pas si feutré que ça, je trouve.
Plume : je parlais en ayant un œil d'aujourd'hui.
Je n'ai vu ni l'un ni l'autre. Delon, plus trop supportable pour moi non plus...
Cornus : sauf dans Rocco et ses frères, Le Guépard et Le Professeur.
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