La question reste toujours d'actualité : caduques ou pérennes ?
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Adam et Eve (1934), Fernand Léger (Musée National Fernand Léger, Biot)
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Adam et Eve (1917-18, inachevé), Gustav Klimt (Osterreichische Galerie,Vienne)
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Adam et Eve (vers 1525), Jan Gossaert (dit Mabuse) (Gemäldegalerie, Berlin) |
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Adam et Eve (vers 1520), Jan Gossaert (dit Mabuse) (Château de Windsor, Windsor) |
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Adam et Eve (1517), Hans Holbein le Jeune (Kunstmuseum, Bâle)
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Adam est tenté par Eve (vers1896-1902), James Tissot (Jewish Museum, New York) |
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Adam et Eve (1827), Claude-Marie Dubufé (Musée des Beaux-Arts, Nantes)
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Le Paradis perdu (1827), Claude-Marie Dubufé (Musée des Beaux-Arts, Nantes) |
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Adam et Eve chassés du Paradis (1961), Marc Chagall (Musée national Marc Chagall, Nice)
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Adam et Eve (1432, polyptyque), Jan van Eyck, (Cathédrale Saint-Bavon, Gand)
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3 commentaires:
thème casse gueule pour les artistes (de mon point de vue bien sûr) car je trouve rarement à mon goût les peintures. Seuls les contemporains et le médiéval s'en sortent...
Ce n'est sans doute pas pour les mêmes raisons, mais je préfère les représentations du XX° s. et les médiévales. Et le dernier, ce sont deux panneaux en réalité séparés du Polyptyque de l'Agneau mystique... que l'on devait aller voir une fois restauré à Gand (pas dans la cathédrale cette fois, mais au musée) avec d'autres œuvres du peintre (et son frère) dans le cadre d'une exposition exceptionnelle. Nous avions pris un rendez-vous en avril, mais cela nous est passé sous le nez, je n'ai pas besoin de dire pourquoi. Heureux ceux qui ont pu y aller juste avant le confinement (ils n'ont pas dû être très nombreux.
Karagar : comme les Annonciations, le thème obéit sans doute à des règles bien précises qui brident beaucoup l'imagination. Les modernes s'en sont exemptés. Le médiéval est, lui, plus une affaire d'ensemble (diptyques, triptyques, etc ...)
Cornus : parce que, à mon avis, les modernes, comme je le dis à Karagar, sortent des stéréotypes et "osent" aussi la couleur.
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