Celui du vieux papy que j'avais rencontré par hasard travaillant dans un estanco de sa cour et qui le chauffait l'hiver pour les chats du quartier (l'été, les félins avaient droit à des hamacs dans un arbre) est encore là. Pas trace du papy hélas, aujourd'hui. Mais l'usine, en face, qu'il m'avait montrée avec fierté parce qu'il y avait travaillé toute sa vie a disparu : à la place, plusieurs hectares de boue, d'engins de chantier et de nouvelles constructions poussant comme des champignons. Même l'église est encerclée !
Les pigeons, eux, ont choisi les vieilles bâtisses !
4 commentaires:
Merci pour ce mot nouveau pour moi : estanco : cabanon ?
Pippo : exactement !
Non, c'est là que je voulais dire que j'ai un peu connu en 1992 quand je "stagiais" à l'Institut Pasteur de Lyon.
Corus : mes deux billets concernent le même coin.
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