Difficile à résumer sans trahir, et ce serait dommage. Disons que le thème est la passion d'un jeune homme, qui deviendra universitaire (et entreprendra des recherches), pour des bouts de films datant du muet d'un certain Max Castle, dont j'ai longtemps cru à l'existence réelle.
Quelle culture cinématographique, quel travail de romain (combien de temps Roszak a-t-il mis pour écrire une telle somme ?) : on navigue autour de Hitchcock, Bergman, des cinéastes de la nouvelle vague française, de films de la UFA, etc. Et on va de surprise en surprise. J'ai bien fait de ne pas me laisser repousser par une évocation des cathares mise en avant dans la quatrième de couverture. Cela dépasse largement un roman à la Dan Brown ...
(Théodore Roszak, La Conspiration des ténèbres. Ed. Le Cherche Midi. Trad. de Édith Ochs.)
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