Deuxième volet de la trilogie d'Indridason. Même plaisir que pour le précédent, peut-être même plus grand car l'intrigue me semble plus complexe. Et j'y ai appris que, lors de la deuxième guerre mondiale, certains islandais étaient pro-nazis. Beaucoup de dialogues dans ce volume mais très bien pensés.
(Arnaldur Indridason, La Femme de l'ombre. Ed. Métailié. Trad. de Eric Boury.)
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