mercredi 5 juin 2019

Musique et cinéma



La fin du film de Claude Chabrol, Que la bête meure (1969). Surtout pour Kathleen Ferrier, une des rares voix que je reconnais à la première note. Ici, elle chante un extrait de Vier Ernste Gesânge (Quatre Chants sérieux), de Brahms : « Denn es gehet dem Menschen wie dem Vieh » (« De fait, le sort de l'homme et celui de la brute est le même »). »

Mais trente secondes, c'est trop frustrant quant il s'agit de Ferrier. Voici l'intégrale du morceau (Premier Chant) :

2 commentaires:

karagar a dit…

ah moi aussi je l'ai reconnue, faut le faire (j'ai dû n'entendre sa voix que quelques secondes ici)
et puis aussi pour tous les coins que j'ai parfois reconnu à l'arbre près (les magnolias de Quimper entre autres)

Calyste a dit…

Karagar : la (re)connaaissance des lieux me manquait, à moi. J'espère que tu apprécies cette voix.