dimanche 5 février 2012

Momentini

- Grand soleil aujourd'hui sur Lyon mais froid à peine moins cinglant. Le vent glacial est tout de même tombé mais les rues étaient désertes lorsque je suis sorti acheter mon bouquet d'anémones.

- Soirée "nid douillet" avec Frédéric hier soir. Des courses ensemble pour manger et puis vite au chaud devant la télé, à dormir à tour de rôle. Pas d'urgence ce matin, rien qui vienne contraindre (j'avais prévenu que je n'irais chez ma mère qu'en fin d'après-midi). C'est tellement rare pour moi de me sentir libre de mon temps.

- Semaine qui s'annonce assez tranquille avant les vacances de février: demain, pas de cours mais journée pédagogique. Ensuite, les troisièmes sont en stages et je pourrai me lever un peu plus tard. Enfin, le plus gros du travail est prêt. Il n'y aura plus qu'à corriger les copies que je vais ramasser, mais j'aurai quinze jours pour ce faire.

- Jean-Claude s'était retrouvé le bec dans l'eau avec un appartement à la neige pour cette semaine, à cause de la mesquinerie d'un triste sire. Je lui en ai trouvé un autre grâce à une ancienne collègue, et pas cher hors période vacances scolaires. Je ferai un de ces soirs un repas chez moi pour réunir tout ce monde-là, en y ajoutant Isabelle et aussi Patrick et Francine, les deux tenanciers de notre "cantine" du vendredi midi, à Frédéric et à moi.

- Se réveiller en sentant près de soi la chaleur d'un autre corps, y a pas à dire, c'est tout de même agréable.

4 commentaires:

Didier M a dit…

Barber c'est un peu tristounet. Mais s'endormir à deux, oui " ça rien de meilleur au monde ". Citation de notre ami commun. Bonne semaine puisqu'elle s'annonce pas trop mal.

Cornus a dit…

Ah, un bouquet d'anémones ? Comme j'aurais aimé voir ça.

La chaleur d'un autre corps... et bien plus que ça...

Georges a dit…

Ah ça oui, y a pas à dire!

Calyste a dit…

Didier: nous pouvons faire confiance à notre ami commun: c'est un homme de goût!

Cornus: j'attends qu'elles s'épanouissent et je les immortalise!
Oui, bien plus, évidemment...

Georges: voilà qui est dit! :-)