C'est dur, c'est très dur, mais sa colère et la sincérité de son engagement font plaisir. Le pire, c'est de constater que, plus de cent ans après, les choses n'ont pas évolué et même, si l'on considère les progrès de l'industrie et de la technologie, ont empiré !
En témoigne le documentaire que j'ai vu hier sur la 3, en deuxième partie de soirée : Pour ne pas les oublier, relatant le travail d'un collectif, Les Morts de la rue, afin d'accompagner dignement les SDF décédés sur les trottoirs jusqu'à leur dernière demeure. Peut-être ces derniers de cordée n'ont-ils pas eu l'idée de traverser la rue ...
(Jack London. Le Peuple d'en bas. Ed. Phébus libretto. Trad. de François Postif.)
6 commentaires:
Calyste est touché par le misérabilisme, ce soir. Dieu le préserve de choir dans une misère noire.
Hors sujet: as-tu une nouvelle adresse, si possible yahoo.fr? J'ai bcp de choses à te conter.
Bonne soirée lyonnaise.
Pippo : je viens de te l'envoyer. Peux-tu me dire si tu l'a bien reçue ? Merci.
ah, étant fan de Jack... ça pourrait m’intéresser aussi !
Ah oui, pas au courant... Jack London est loin à présent.
Karagar > Je crois que je l'ai, si "on" ne ma l'a pas fauché, faut que je fouille ! :)
Karagar : totalement différent de ses autres bouquins.
Cornus : pas celui-ci, hélas !
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